Oui, je me re-penche sur ce film et vous laisse un lien qu'il est bien : http://www.rabaska.com/super/chroniques/2001/03/20010329_go.htm
Avec une petite analyse dont voici un court extrait, c'est le decryptage de la fin justement (d'ailleurs l'auteur du livre paru en 1979 ne s'appelle-t-il pas Michael Ende, ende signifiant "fin", la mise en abîme est sublimée, et vive l'oroboros qui illustre le livre dans le film :) )"
RÉSUMÉ
XVII
XVII
L'impératrice savait qu'un enfant de la Terre devait lui donner un nouveau nom, mais il fallait qu'Atreyu vive ses épreuves et ses émotions afin que l'enfant aussi sache qu'il est lui seul capable de sauver l'univers du rêve et le droit de rêver. Elle dit que l'enfant de la Terre
ANALYSE
XVII
XVII
Shéhérazade (dans les contes de fées, la princesse est le plus souvent le symbole de l'inconscient qui sait) connaissait tous les récits susceptibles de restaurer l'amour et l'équilibre de l'esprit chez son prince (figure habituelle du conscient perturbé). De même, l'impératrice sait-elle ce qu'il faut faire et qui doit le faire. Le fait qu'elle (personnage de fiction) s'adresse à celui qui lit (dans le réel) fait passer cette histoire du merveilleux au fantastique (on a déjà noté quelques touches de fantastique plus tôt). Stimulé par une figure de son propre inconscient, Bastien réagit et finit par croire qu'il peut faire quelque chose (estime de soi retrouvée). Si bien qu'il osera aussi monter Falcor, lui qui redoutait le fait de monter à cheval. Il affrontera ses camarades
Conclusion
Finalement, c'est toujours en soi qu'on lit. C'est soi que l'on
De plus, l'épisode de la grotte nous le rappelle, rien ne se Bastien s'est remis lui-même au monde et il s'avance, joyeux, dans le matin. Hors de sa nuit. En fréquentant son imaginaire grâce à la lecture, il a trouvé en lui la force d'affronter à nouveau le réel. Comme cela se passe le plus souvent avec les contes de fées, l'imaginaire et le rêve ont servi à restaurer l'intériorité d'un être (lecteur) perturbé et au bord du découragement. " |
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